créolisations

En référence au «Tout-monde» d’Édouard Glissant, des artistes associés à chaque situation produisent, ensemble, par créolisation, une œuvre traitant des sujets de l’exposition constellation.s.

vendredi 23 septembre 17:30 > 18:30

site constellation.s

Une exposition de 2000 m², plus de 100 contributeurs, des rencontres thématiques…

Retrouvez toutes les réflexions autour du projet sur le site internet dédié.

créolisations : Christophe Hutin, architecte / Hamid Ben Mahi, chorégraphe créolisations : Christophe Hutin, architecte / Hamid Ben Mahi, chorégraphe / ©F.Larronde
créolisations : Sacramento Knoxx, musicien / Erik Howard, photographe / Hamid Ben Mahi, chorégraphe / Christy Bieber, danseuse
créolisations : Sacramento Knoxx, musicien / Erik Howard, photographe / Hamid Ben Mahi, chorégraphe / Christy Bieber, danseuse / ©F.Larronde
créolisations : Sacramento Knox, musicien  créolisations : Sacramento Knox, musicien / ©F.Larronde
créolisations : Sacramento Knoxx, musicien / Erik Howard, photographe / Hamid Ben Mahi, chorégraphe / Christy Bieber, danseuse
créolisations : Sacramento Knoxx, musicien / Erik Howard, photographe / Hamid Ben Mahi, chorégraphe / Christy Bieber, danseuse / ©F.Larronde

Une conversation proposée par Christophe Hutin, architecte, autour de son projet South West Résilience pour mettre en pratique l’esprit de l’exposition, avec une programmation culturelle réunissant les personnes apparues dans les vidéos : ces habitants de Johannesburg, Detroit et Uzeste.

avec : Sacramento Knoxx, musicien / Erik Howard, photographe / Hamid Ben Mahi, chorégraphe / Christy Bieber, danseuse

 

South West Resilience, Johannesburg / Uzeste / Detroit savoir faire habitant, exposé dans constellation.s

L’architecte bordelais Christophe Hutin part du constat que les habitants sont les experts de leur quotidien et qu’ils sont, dans bien des cas, le moteur de nouvelles manières d’habiter le monde. Dans des contextes urbains critiques, à Detroit, Johannesburg et Bordeaux, il part à la rencontre de ceux qui se sont positionnés en tant que leaders et qui font bouger les lignes au sein de leur communauté.

Dans l’installation vidéo présentée dans l’exposition, il met en regard des témoignages, des photographies documentaires et des projets simples mais ambitieux qui impliquent étroitement la population. Les points de vue surplombants tombent, et le visiteur est mis en relation directe avec ceux qui transforment leur quotidien, au quotidien. Selon la formule de Gilles Deleuze : «?la minorité, c’est tout le monde?»?; c’est un processus d’inclusion démocratique par le bas que nous montre ici l’architecte.